Ces lois sont un ensemble de bonnes pratiques d'ux design que nous appliquons dans la conceptions de nos maquettes graphiques. Ces lois nous permette de créer des interfaces cohérentes et une expérience utilisateur optimisée pour engager vos utilisateur sur votre service digital.
Découvrez ces principales lois qui régissent le métier d'UX Designer
La loi de Hick nous encourage à limiter les options pour que les utilisateurs puissent prendre des décisions plus rapidement. En réduisant le nombre de choix ou en les organisant par catégories, la fonctionnalité devient plus intuitive et les utilisateurs interagissent plus facilement avec l'interface.
La loi de Fitts suggère d’agrandir les éléments visuels importants (comme les boutons d’action) et de les placer à des endroits faciles d’accès. Cela améliore l’efficacité des interfaces en facilitant l'interaction pour les utilisateurs.
La loi de Miller, qui indique que les gens se souviennent de 7 éléments en moyenne, aide à structurer les interfaces utilisateur en regroupant l’information et en limitant le contenu affiché. Cela rend les interfaces plus claires et évite de surcharger les utilisateurs.
L'effet Von Restorff recommande de mettre en avant les éléments essentiels pour qu'ils se démarquent et soient mieux mémorisés. Utiliser des couleurs ou des styles distinctifs pour les boutons d'action ou les appels à l'action permet aux utilisateurs de se concentrer sur ce qui est prioritaire.
La loi de Jakob rappelle que les utilisateurs préfèrent des interfaces familières. Pour une bonne expérience, il est utile de concevoir des interfaces en reprenant les conventions communes (comme les menus ou icônes standards) afin que les utilisateurs s’adaptent rapidement.
La loi de Tesler, qui concerne la conservation de la complexité, signifie que certaines fonctionnalités complexes doivent être simplifiées pour les utilisateurs. Concevoir des interfaces avec des éléments intuitifs et bien organisés permet de gérer cette complexité en arrière-plan.
La loi de la connectivité uniforme encourage à lier visuellement les éléments ayant une fonction similaire. En regroupant ces éléments (par encadrement, couleur, ou espacement), les utilisateurs perçoivent mieux les liens logiques, facilitant ainsi la navigation.
Le seuil de Doherty préconise une réponse en moins de 400 ms pour que les utilisateurs restent engagés. En optimisant le temps de chargement et les transitions, vous assurez une interface réactive qui maintient l’attention des utilisateurs.
La loi de Parkinson indique que les tâches s’étendent pour remplir le temps disponible. Limiter le temps nécessaire à certaines actions dans une interface peut encourager les utilisateurs à interagir plus efficacement et sans distraction.
En limitant le nombre d’éléments affichés à environ 7, comme le propose la loi de Miller, on aide les utilisateurs à mieux retenir les informations et à naviguer facilement dans l'interface, ce qui améliore l’expérience et facilite la mémorisation.